La médecine holistique: première partie
Une alternative naturelle à adopter?
Lorsqu’il s’agit de notre santé, une grande majorité d’entre nous s’en remettent à leur médecin ou à leur pharmacien. Toutefois, la vague holistique gagne du terrain, offrant des pistes de solutions à certaines affections chroniques face auxquelles la médecine conventionnelle est plus limitée, voire impuissante. Mettons en lumière cette forme de médecine à ne pas sous-estimer.
L’approche holistique, qu’est-ce que c’est?
La médecine dite « non conventionnelle » prend ses racines vers le XIXe siècle. Elle a plusieurs appellations :
* alternative
* parallèle
* douce
* traditionnelle
* etc.
* parallèle
* douce
* traditionnelle
* etc.
Elle est souvent adoptée en complément de la médecine moderne, mais elle peut aussi lui substituer [1].
Le mot « holistique » est dérivé du grec « holes » qui signifie « tout entier ». Contrairement à la médecine traditionnelle, qui définit la santé par l’absence de maladie, la médecine holistique voit plutôt la santé comme un état de bien-être physique, mental, social et spirituel [2]. Elle travaille à prévenir et maintenir une bonne santé plutôt qu’à guérir les maladies.
De même, la médecine moderne associe les maladies aux pathogènes, bactéries, virus et dérèglements biochimiques; la médecine holistique les voit comme des indicateurs d’un déséquilibre du corps humain [3].
Comment l’applique-t-on concrètement?
La médecine holistique peut prendre plusieurs formes comme l’acupuncture, l’homéopathie, ou encore la phytothérapie. Le port des colliers et bracelets Pur Noisetier peut faire partie de la démarche holistique, ayant la propriété d’apporter un soulagement ou d’atténuer certains symptômes de nature inflammatoire tels que les douleurs articulaires, les ulcères buccaux, la poussée dentaire douloureuse, les problèmes de peau ou les troubles digestifs. Dans tous les cas, aucun traitement médicamenteux n’est utilisé dans le soin de la personne malade ou souffrante [4].
Se soigner par les plantes : la phytothérapie
Les résultats, bien qu’ils ne soient pas immédiats dans la plupart des cas, sont considérés comme plus durables et moins dommageables pour le système qu’en cas de prise de substances chimiques. Prenons par exemple un mal de dos : la médecine traditionnelle pourrait suggérer la prise d’un médicament pour soulager la douleur, mais qui est susceptible de créer une dépendance ou de causer des effets secondaires. La médecine holistique, quant à elle, privilégierait d’abord l’application locale de chaleur, puis la consultation d’un ostéopathe afin de régler la cause première de la douleur.
Médecine moderne ou holistique : laquelle choisir?
À cette question, il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse. Tout dépend non seulement de l’état général de la personne, mais également de sa volonté à rendre son mode de vie plus sain. De nouvelles études sortent régulièrement afin d’appuyer la médecine holistique, comme cet article qui énonce de nouvelles solutions « douces » à certaines douleurs chroniques. Une visite dans l’un des nombreux salons axés sur la médecine douce pourrait également vous éclairer davantage. À vous de déterminer l’équilibre auquel vous aspirez!
En ligne très bientôt : la deuxième partie de notre article sur la médecine holistique, dans lequel vous pourrez découvrir des associations de médecine alternative de renom auxquelles vous référer.
[1] Wikipedia, http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9decine_non_conventionnelle#cite_note-fisher1994-8
[2] Une approche holistique de la santé, http://www.vivre-sa-vie.net/archives/2012/10/07/21734649.html
[3] Dr Marc Jacquemin, http://www.phytotherapie-jacquemin.be/medecine-holistique.php
[4] Huffington Post, Catherine Aliotta, « Bien-être en douceur », http://www.huffingtonpost.fr/catherine-aliotta/bienetre-en-douceur-medecines-douces_b_6658908.html